Imaginons, que comme moi, vous ayez grandi avec eux
et bien , voila, pchit, fin des rêves
Mon dieu, un désespoir atroce nait en moi.
je ne peux plus travailler pour l'instant.
je vais être obligée de me faire acheter du nutella pour me consoler. (dès que l'un de mes 2 putains de colocs adorés voudra bien ramener son cul à l'appart pour aller faire mes courses.)
Sinon, chez france télécom, ils sont bien aimables, ils ne m'ont pas facturé l'amende pour le léger retard du mois dernier. (non, ce n'est pas un oubli, c'est un geste de solidarité pour ma sinistrose.)
Et en plus, j'aime mon assureur, il me téléphone pour me dire que nous avons trop payé (ce qui déja, en soi, m'étonne, mais bref) et qu'un chèque nous parviendra d'ici peu.